Shampooing qui pique pas les yeux,
Une main qui traîne dans mes cheveux,
Pas eu le temps de faire mes devoirs
Ni envie de dormir seul ce soir.
Pas fermer la porte à clé,
Juste entr' ouvrir les volets,
Comme toi j'avais peur la nuit,
Bandits cachés sous mon lit.
Les histoires pour t'endormir,
Ça m'a jamais fait dormir,
Les batailles de polochons,
J'ai toujours trouvé ça con.
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux,
Même quand le doute est l' plus fort,
Faut pas glisser, tenir encore.
(Refrain 1)
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
En chacun d' nous y' a d' la lumière,
À toi d' savoir c' qu'il faut en faire.
A toi qui vient juste derrière,
Jj voudrais crier c' qu'il faut faire.
Mets pas tes pieds là, ça fait mal,
C'est pas vrai que tous les hommes se valent.
Les bras trop courts pour embrasser
Mais bien assez longs pour cogner,
J'en ai vu qui priaient peinards,
Mais qui tournaient tout le temps le regard.
(Refrain 2)
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
C' qui nous éclaire vient d' l'intérieur,
Personne peut arrêter c' compteur.
(Refrain 3)
Dors, dors, mais ne ferme pas les yeux.
On ne peut jamais aimer tout le monde
Et ceux qui l' disent, disent des mensonges.
Mais c'est comme la course au trésor,
Si t' y crois plus c'est qu' t'es mort.
Faut chercher encore et encore,
Jamais s'attarder dans les ports.
(Refrain 1)
(Refrain 2)
(Refrain 3)
Dors, dors, dors, dors
Champú que no pica en los ojos,
Una mano que tiembla entre mis cabellos,
No es el momento de callar mis deberes
Ni tengo ganas de dormir solo esta noche
No cierres la puerta con llave
Será suficiente con un pestillo
Como tú, yo tenía miedo a la noche,
A los bandidos que aparezcan en mi cama.
Las historias para dormir,
Nunca hacen dormir,
Las batallas con la almohada
Son la única solución.
Duerme, duerme, pero no cierres los ojos,
Incluso cuando las dudas sean más fuertes,
No sea que te equivoques otra vez.
(Estribillo 1)
Duerme, duerme, pero no cierres los ojos,
En a uno de nosotros está la luz
Para saber, qué tenemos que hacer.
A ti que vienes justo detrás,
Me gustaría gritarte lo qué tienes qué hacer.
No te metas ahí, o te harás daño.
Pero no es cierto que siempre acertemos.
Los brazos son demasiado cortos para abrazar, pero son bastante largos para golpear,
Incluso cuando están tranquilos,
Su mirada vigila.
(Estribillo 2)
Duerme, duerme, pero no cierres los ojos,
Lo que nos ilumina viene del interior,
No se puede evitar.
(Estribillo 3)
Duerme, duerme, pero no cierres los ojos,
No se puede amar a todo el mundo,
Y los que dicen que sí, mienten.
Pero esto como un carrera
Si te paras, estás descalificado.
Es necesario buscar y buscar,
Sin parar.
(Estribillo 1)
(Estribillo 2)
(Estribillo 3)
Duerme, duerme, duerme, duerme